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lundi 16 mars 2009

VIVRE SANS LE LOUP-POURQUOI NOTRE ASSOCIATION ?




POURQUOI NOTRE ASSOCIATION ?


Notre association, VIVRE SANS LE LOUP, a vu le jour à l’issue d’une réunion publique qui s’est tenue le mercredi 18 février 2009, à la salle des fêtes de Petit Bornand les Glières.
Près de 1000 personnes se sont rassemblées afin de montrer leur soutien à l’enfant du pays, Franck MICHEL, qui a traduit par le geste le ressentiment et la crainte des gens de nos villages.

Cet acte représente notre sensibilité et notre exaspération vis-à-vis de la présence de plus en plus proche de ce prédateur. Les loups se sont installés dans nos villages pendant l’hiver. Ils sont présents dans nos cours et viennent tuer les biches aux portes de nos écoles.
Les loups sont loin, aujourd’hui, d’avoir un comportement d’animaux sauvages : ils sont présents, tout près de nous, de jour comme de nuit, et ne craignent pas notre présence.
La peur gagne du terrain dans tous nos foyers, preuve en est notre rassemblement de mercredi soir. Nous étions tous unis pour la même cause : nous voulons tous retrouver une vie normale.

Aujourd’hui, nous ne sommes plus seulement en face d’un problème écologique ou économique, aujourd’hui, notre problème est devenu social et humain.
Ce geste remet sur scène un problème, soulevé depuis plusieurs années déjà, qui est resté sans solution véritable, et qui risque d’aboutir à des débordements.

De tout cela découle un sentiment de coresponsabilité sociale qui nous a poussé à créer notre association.


QUI SOMMES NOUS ?


Certains d’entre nous sont en activité, d’autres à la retraite. Les métiers agricoles sont bien représentés ( élevages ovins, bovins et caprins ). Les autres membres sont salariés de divers secteurs et professions.


L’ OBJET DANS NOS STATUTS :

La lutte contre la présence du loup dans les villages et près des troupeaux, et la protection du pastoralisme et de la faune.

VIVRE SANS LE LOUP-LETTRE A JEAN LOUIS BORLOO

Association VIVRE SANS LE LOUP
Mairie
74130 Le Petit Bornand les Glières


Monsieur Jean-Louis BORLOO
Ministre de l’Ecologie, de l’Energie,
du Développement durable et de
l’Aménagement du territoire
Hôtel de Roquelaure
246, boulevard Saint-Germain 75700 Paris

Pt-Bornand, le 13 mars 2009

Monsieur le Ministre,

Nous vous transmettons ci-joint un dossier complet actualisé, concernant notre association VIVRE SANS LE LOUP. Nous vous y expliquons qui nous sommes ainsi que les motifs de notre existence : la présence insupportable des loups, sur nos chemins, en tête à tête avec nos enfants, ou près de nos bâtiments agricoles.

Nous nous adressons aujourd’hui à vous en tant que représentant du gouvernement français.

Notre région agricole et touristique souffre profondément de la présence du loup. Nos troupeaux ne sont pas ceux du Sud, ils sont de petites tailles, et les dégâts qu’ils subissent mettent en péril leur continuité, d’où un constat d’incompatibilité de l’animal avec les élevages locaux.
Aujourd’hui, des agriculteurs écœurés par les attaques répétitives sur leurs troupeaux ne veulent plus retourner en alpage, c’est le travail de toute leur vie qui est remis en cause. Nous ne sommes pas la seule région concernée, et ce problème de loup va se propager rapidement dans d’autres zones d’élevage.

Dans notre département, nous allons aussi constater très vite ( si ce n’est déjà fait ) l’effet néfaste sur le tourisme.
Les loups sont en train de réduire en poussière trente années de travail des chasseurs : ceux-ci n’ont, en effet, ménagé ni leur temps ni leur argent pour la réintroduction et la sauvegarde d’espèces animales très prisées des appareils photographiques ou caméras des touristes.
Les activités nocturnes qui ont émergé ces dernières années, source de revenus touristiques pour une part de plus en plus importante, vont sans aucun doute régresser, la crainte gagnant du terrain.
A noter que dans notre région accidentée, bon nombre d’agriculteurs vivent aussi du tourisme.

Notre association s’est, depuis sa création, rapprochée de nombreux acteurs concernés par le loup ( élus locaux, organismes professionnels agricoles, monde de la chasse, associations écologiques, etc … ). Nous avons constaté, au cours de ces nombreux échanges, une prise de conscience générale d’une véritable problématique. Aussi, sommes-nous en attente d’une réelle écoute et compréhension de votre part.

Nous nous joignons à la profession agricole et au monde des chasseurs pour réclamer des mesures comme, entre autres :
- le passage de notre département en zone d’exclusion du loup,
- l’amélioration des modalités des tirs de défense et de régulation
- l’autorisation des tirs de prélèvements avant la sortie de nos troupeaux, ce printemps.

Nous sommes aujourd’hui dans l’attente, de la part du gouvernement français, de décisions concrètes, efficaces et rapidement applicables.

Nous vous remercions de nous avoir accordé quelques minutes précieuses de votre temps pour nous lire, et vous prions de bien vouloir agréer, Monsieur le Ministre, nos sincères salutations.

Le Président



P. METRAL

dimanche 15 mars 2009

VIVRE SANS LE LOUP-RENCONTRE FRAPNA 74 03/03/09

Etaient présent 4 membres de la FRAPNA et 4 membres de l’ass. VIVRE SANS LE LOUP.

Présentation de l’association, de ses statuts et de son but par Pierre METRAL.

Exposé de Pierre quant à la présence des loups dans les villages et l’angoisse des habitants et des parents pour leurs enfants et à la possibilité d’un accident. Crainte sur la présence du loup près des fermes et des animaux chez les agriculteurs et éleveurs.

Exposé de la FRAPNA sur l’arrivée naturelle du loup en Haute-Savoie, ses mœurs…
La FRAPNA annonce une meute de 5 à 7 loups sur tout le massif des GLIERES.
Elle nous dit avoir mis en garde Mr. ACCOYER en 2002.

Exposé de Daniel GUICHENAL sur la présence du loup dans nos massifs et des dégâts constatés sur la faune sauvage et la crainte de voir une disproportion entre loup et faune, et aussi l’exaspération des chasseurs et des agriculteurs sur la lenteur de tous les acteurs concernés dans la commission loup à prendre des décisions et faire avancer les choses, pour exemple les feuilles de constat de visualisation, de traces, de carcasses retrouvées dont nous avons pris connaissance que depuis quelques temps. Nous ne sommes pas d’accord sur le nombre de loups annoncé par la FRAPNA et tout comme Martial SADDIER, nous demandons la mise en œuvre d’un comptage précis par un organisme neutre et autre que l’ONCFS.

La FRAPNA est consciente et reconnaît qu’il y a bien un problème de comportement des loups et qu’il faut mettre en place la régulation qu’il convient. Les pouvoirs publics et politiques doivent prendre des mesures, apporter et donner les moyens pour stopper cette hémorragie et mettre en place les solutions qui s’imposent.

Les agriculteurs et les chasseurs invitent les membres de la FRAPNA à venir sur le terrain, à Petit-Bornand, pour constater la présence du loup près des habitations.

VIVRE SANS LE LOUP-RENCONTRE M. LE PREFET 02/03/09

Les personnes présentes autour de la table : M. le Préfet, M. le Sous-Préfet, M. Martial SADDIER, Député-Maire de Bonneville, M. Marc CHUARD, Maire de Petit-Bornand-les Glières, M. Pierre PICCOLET , 1er adjoint, MME Laetitia CHABOUD, 3è adjointe, un représentant de la Louveterie, des personnes venues témoigner et les membres de l’association.

Après une brève présentation des personnes, Pierre METRAL ( le Président de VIVRE SANS LE LOUP ) remercie M. le Préfet ainsi que les autres élus d’avoir accepté de venir à notre rencontre rapidement, sur le terrain.
Il présente ensuite l’objet de notre association ( la lutte contre la présence du loup dans les villages et près des troupeaux, et la protection du pastoralisme et de la faune ) et le pourquoi de cette création :
** à l’origine, un loup abattu sur la commune qui est le reflet d’une exaspération quasi générale vis-à-vis de la présence de plus en plus proche de ce prédateur présent dans nos villages,
** un geste qui remet sur scène des problèmes soulevés depuis plusieurs années déjà qui sont restés sans solution véritable, et qui risquent d’aboutir à des débordements ( mention est faite de lettres de menace reçues, 1 adressée au vice-président de l’acca de Petit-Bornand, l’ autre à Franck Michel ),
** un sentiment de coresponsabilité sociale.

Nous constatons, à l’appui d’un témoignage oral, que le comportement du loup n’est pas celui d’un animal sauvage : il est tout près des habitations, n’a pas peur de notre présence et revient sur les mêmes lieux sans crainte.

La discussion se poursuit ensuite sur le constat d’échec du plan loup, et ce, malgré une large coopération du monde agricole :
** les mesures de protection des troupeaux sont drastiques, pas toujours efficaces, et créent d’autres problèmes – référence aux patous –
** pas de défense possible
** prélèvements non réalisés
** inefficacité des indemnisations ( animaux non retrouvés non indemnisés – inadaptation de l’indemnisation aux troupeaux laitiers )
** pas de suivi efficace de la population loup ( nombre inconnu ) et information au public peu claire sur le sujet
** pas de contact sur le terrain malgré la présence permanente des loups.
Nous faisons remarquer à M. le Préfet que nous sommes prêts à coopérer pour faire circuler les informations justes sur le sujet, mais que nous n’en avons pas la connaissance.

Questionné sur le nombre de loups présents, M. le Préfet nous avance un nombre de 5 à 7, qui résulte d’un rapport , selon lui, très précis remis récemment par l’organisme compétent, l’ONCFS ( comptage effectué par la méthode du hululement et du suivi des traces dans la neige fraîche ). Il nous réaffirme que les loups n’ont pas été réintroduits et qu’ils ne sont donc pas pucés.
Nous lui présentons alors un second témoignage faisant état, sur la commune voisine, Thorens-les-glières, d’un nombre total de six loups, vus dans un laps de temps très court, par une seule et même personne.
Nous faisons part alors à M. le préfet de notre surprise quant au nombre qu’il nous annonce, en sachant qu’au même moment, sur notre commune, des loups sont vus et entendus.
Le représentant de la Louveterie nous indique, lui, un nombre de 8 à 10, répertoriés, lors du dernier comptage, uniquement sur le massif des Glières. A la question posée à M. le Préfet, sur le nombre de loups présents dans les autres massifs de la Haute-Savoie, celui-ci nous répond que ce sont les mêmes loups !!!

Nous tirons la sonnette d’alarme sur la question de la responsabilité car le risque d’accident n’est pas à exclure. M. le Préfet prend cette responsabilité à son compte.

Un autre constat désastreux est mis en avant, c’est celui de la disparition de la faune de nos montagnes qui, non seulement, détruit trente années d’efforts de gestion des chasseurs ( progression et régulation des espèces ), mais aussi qui risque de peser de manière défavorable très rapidement sur le tourisme de nos montagnes ( baisse de la fréquentation et des activités nocturnes ).

Nous arrivons ensuite sur le problème humain qui pèse sur le monde agricole, en présentant deux cas concrets à M. le préfet :
** 1er cas au col de la Colombière. En 2007, étaient présents 1200 animaux dans de multiples troupeaux. Un groupement pastoral s’est alors créé. Suite aux attaques des loups, ne sont restés que 4 troupeaux pour un total de 800 animaux. En 2007, malgré la mise en place des parcs de nuit, une perte de 99 brebis a été constatée. En 2008, de nouvelles attaques ont eu lieu. Des aides bergers ont été embauchés, mais l’un deux est resté 2 jours, et un autre 15 jours ( 11 pertes ont été dénombrées ). Trois patous ont été achetés. Aujourd’hui, René TOCHON, se pose des questions sur la continuité possible de l’alpage, il se donne 2 saisons avant d’arrêter si la destruction continue.


** 2è cas au col de la Buffaz : après 3 années d’attaques consécutives ( 152 animaux ), l’exploitant, Mickael Richard, met en place le plan loup, mais il jette aujourd’hui le gant et abandonne l’alpage. Il trouve un remplaçant sur l’alpage ( un troupeau provenant d’un autre département ), mais il semblerait que celui-ci ne soit pas sûr de continuer. Sur l’alpage voisin, après 2 ou 3 attaques en 2008, 17 chèvres sont perdues, ce troupeau ne remontera pas cette année.
Le problème de ces agriculteurs n’est plus seulement économique ; nous sommes dans une détresse sociale et dans le découragement le plus total.
Nous nous dirigeons à grands pas vers la disparition totale de certains troupeaux locaux ( producteurs bien souvent doubles actifs ), et la désertification totale de certains alpages. Comment ceux-ci seront-ils alors entretenus ????

Monsieur le Préfet nous informe que des tirs d’effarouchement sur nos communes de Petit Bornand les Glières et Entremont peuvent être mis en place, ce qui n’est que la confirmation de la décision prise 4 jours avant par la Secrétaire d’Etat chargée de l’écologie, MME Chantal JOUANNO, dans une réponse adressée à notre Député-Maire ( proposition qui ne nous suffit pas à elle seule ).
Il propose aussi à deux personnes ( notre président et la personne ayant donné son témoignage – 2nd ) de participer à la prochaine réunion du groupe loup à la Préfecture le 10 mars prochain ( en parallèle de la même proposition faite à M. SADDIER par MME JOUANNO, pour une réunion du groupe national loup susceptible de se dérouler en avril prochain … même réunion ??? ).

Nos questions aux élus :
-- Le nouvel arrêté est-il déjà à l’ébauche ? M. SADDIER nous répond non. Nous lui demandons alors s’il sera possible d’être tenus au courant du projet, il nous répond oui.
-- Est-il possible de rencontrer brièvement Monsieur le Ministre BORLOO, lors de sa venue prochaine en Haute-Savoie, afin de lui déposer une requête ? M. le Préfet nous indique qu’un créneau devrait pouvoir être trouvé.
-- Que va-t-il se passer au printemps, si des attaques se font sur les troupeaux lors de leur première sortie ? M. le Préfet fait mention du droit de légitime défense.

A suivi une visite sur le terrain des lieux de passage du(des) loup(s) dans les hameaux et dans les cours de ferme.

VIVRE SANS LE LOUP-LETTRE AU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

Association VIVRE SANS LE LOUP
Mairie
74130 LE PETIT BORNAND LES GLIERES


Monsieur le Président de la République
Palais de l’Elysée
55 rue du faubourg St Honoré
75008 PARIS


Pj : copie lettre préfet 74 Pt Bornand les Glières, le 25/02/09




Monsieur le Président de la République,


Vous avez, à plusieurs reprises, manifesté votre attachement à notre commune, le Petit Bornand les Glières. Vous êtes venus pour vous y recueillir, et vous vous êtes engagés à y revenir chaque année, c’est pourquoi nous faisons, aujourd’hui, appel à vous.
Vous trouverez ci-joint le courrier que nous avons adressé à notre préfet, le 19 février dernier, car les gens de nos villages sont craintifs et à bout : notre commune et nos voisines sont devenues les terres des loups, et nous ne pouvons nous résoudre à accepter cette situation sans demander des explications et des solutions.
Nous demandons la venue du préfet pour qu’il constate de visu, et nous avons nous-mêmes des propositions concrètes à faire, car les discussions qui s’engagent à ce jour ne sont pas suffisantes.
Nous comptons vivement sur votre soutien et nous nous tenons à votre disposition pour tout complément d’information.
Nous vous remercions d’avoir pris sur votre temps précieux pour nous lire, et vous prions de bien vouloir agréer, Monsieur le président, nos sentiments les meilleurs.


Le président de VIVRE SANS LE LOUP

VIVRE SANS LE LOUP-LETTRE AU PREFET

Association VIVRE SANS LE LOUP
Mairie
74130 PETIT BORNAND LES GLIERES
Monsieur le Préfet de la Haute Savoie
Préfecture
74000 ANNECY
Copie à Monsieur le Président
de la République
Pt Bornand les Glières, le 19 février 2009


Monsieur le Préfet,
Notre association, VIVRE SANS LE LOUP, a vu le jour à l’issue d’une réunion publique qui s’est tenue le mercredi 18 février 2009, à la salle des fêtes de Petit Bornand les Glières.
Près de 1000 personnes se sont rassemblées afin de montrer leur soutien à l’enfant du pays, Franck MICHEL, qui a eut le courage de traduire par le geste le ressentiment et la crainte des gens de nos villages.
Cet acte représente notre sensibilité à tous et notre exaspération vis-à-vis de la présence de plus en plus proche de ce prédateur. Les loups se sont installés dans nos villages pendant l’hiver. Ils sont présents dans nos cours et viennent tuer les biches aux portes de nos écoles.
Les loups sont loin, aujourd’hui, d’avoir un comportement d’animaux sauvages : ils sont présents, tout près de nous, de jour comme de nuit, et ne craignent pas notre présence.
La peur gagne du terrain dans tous nos foyers, preuve en est notre rassemblement de mercredi soir ; nous étions tous unis pour la même cause : nous voulons tous retrouver une vie normale.
Aujourd’hui, nous ne sommes plus seulement en face d’un problème écologique ou économique, aujourd’hui, notre problème, votre problème, est devenu social et humain.
Aujourd’hui, nous avons besoin de votre présence sur le terrain. Nous vous invitons à venir au Petit Bornand, chez nous, chez les loups, pour constater, pour expliquer pourquoi nous en sommes arrivés là, et pour présenter ce que vous envisagez de faire. Nous comptons sincèrement sur votre venue.
Dans l’attente de votre visite, nous vous prions de bien vouloir agréer, Monsieur le Préfet, l’expression de nos salutations distinguées.


Le Président

VIVRE SANS LE LOUP-NOTRE ACTION ETAPE PAR ETAPE


Notre premier objectif était de :

1/Faire constater, sur le terrain, à nos élus ce qui se passe.
2/Récolter des informations précises sur le sujet.


Il s’est déjà traduit par des contacts avec les élus et certains organismes :

19/02/09 : lettre à M. le Préfet de la Haute Savoie
20/02/09 : rencontre de M. Martial SADDIER
25/02/09 : lettre à M. le Président de la République
02/03/09 : rencontre de M. le Préfet de la Haute Savoie
03/03/09 : rencontre de 4 représentants de la FRAPNA 74
05/03/09 : la FRAPNA communique sur FR3 et confirme publiquement l'existence du problème.
10/03/09 : participation de notre Président au Comité Loup qui s’est tenu à la Préfecture d' Annecy. Nos demandes rejoignent celles de la profession agricole et du monde de la chasse. Nous y ajouterons la possibilité, pour les agriculteurs, d’obtenir un port d’arme allégé.
13/03/09 : nous sommes reçus par le Conseiller Technique du Ministère de l'Environnement. Nous lui remettons une lettre destinée à J. L. Borloo ainsi qu'un dossier complet, et nous lui exposons nos revendications.
14/03/09 : rencontre de 4 administrateurs de la Fédération des Chasseurs 74.

Notre second objectif est de rassembler le plus de monde autour de notre cause :

Le gouvernement français doit prendre absolument conscience de la réalité du problème et se faire entendre au niveau européen.
La FDSEA 74 suivie de la FDC 74 appellent à un grand rassemblement pacifique
LE SAMEDI 18 AVRIL A THONES DES 13 HEURES.